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META.MORPHOSES
7 mars 2011

un 07/03..

..1875, naissait le compositeur français Maurice Ravel.

ravel_11       bolero

     Maurice Ravel                        .....                                                

" J' ai fais mon travail lentement, goutte à goutte. Je l'ai arraché de moi par morceaux."  


..1799, durant la campagne d' Egypte, la ville de Jaffa (Syrie) fut prise et mise à sac par les troupes du général Bonaparte. Au meme moment, une épidémie de peste commence à décimer les populations (Jaffa, Saint-Jean d' Acre), ainsi que de nombreux soldats de l'armée française.

 bonaparte1     bonaparte_3

Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa..par Antoine-Jean Gros (1804)


 

 

    

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8 mars 2011

un 08/03..

 


Upd. Date (UTC) Event Country Location Level   Details
  Today Biological Hazard Ireland Capital City, Dublin [Grand Canal] Damage level
 
Details
  Today Fire USA Gulf of Mexico (Louisiana), [GI 102A Oil Rig] Damage level
 
Details
  Today Volcano Eruption Guatemala Sierra Madre, [Volcán de Fuego] Damage level
 
Details
  Today Volcano Eruption Guatemala Quetzaltenango Department, [Santa Maria Volcano] Damage level
 
Details
  Today Avalanche Sweden Áre Municipality, Tegefjáll Damage level
 
Details
  Today Vehicle Accident USA State of Alaska, [Bold Cape] Damage level
 
Details
  Today Flood Spain Andalusia, Algeciras Damage level
 
Details
  Today Biological Hazard Japan Province of Miyazaki, Kadogawa Damage level
 
Details
1 07.03.2011 Volcano Eruption USA State of Hawaii, [Puu Oo Crater] Damage level
 
Details
26 07.03.2011 Earthquake New Zealand South Island, Christchurch
20 mars 2011

un 20/03../ LUX AEQUUS NOX


..Equinoxe de printemps.


 

                                        equinoxe_de_printemps

 


Première des deux équinoxes de l' année (la deuxième qui survient en septembre annonce l'automne), elle marque le début du printemps.

A un certain point de l'orbite terrestre, le Soleil est situé au zénith de l'équateur; les deux hémisphères se retrouvent également partagés entre jour en nuit.


 ..PRINTEMPS :

 

                                     Branches_fleuries_d_amandier

                                            Branches fleuries d'amandier

                                                Vincent Van Gogh / 1890

 


 

2 mars 2011

Que sont devenues les Grosses Tetes ?

_cid_7E681E754DE740D6BE4E381DFB047658_PCdepatriceMais que sont devenues nos chères têtes blondes.., euh pardon, nos bien chères grosses têtes? Auraient-elles éclaté depuis tout ce temps? Qu'ont-elles fait?..gonflé gonflé gonflé jusqu'à explosion? Une chose est sure, fini la mobylette, les casquettes de début de semaine, les lunettes.

Ont-elles croulé sous leur propre poids? Ont-elles flétri par manque d'arrosage? Ou bien ont-elles fait le bonheur de forains (entourées de cuir vous pouvez taper dessus très très fort)?

Eh bien figurez-vous qu'elles vont bien..Elles font certes un peu peur ici ou là, suivant les petits yeux qui les observent, mais en un mot comme en mille, elles continuent de croitre, réfléchir et sourire..

Une chance pour elles que leurs ailles aussi, n'aient cessé de grandir..

 

 

 

 


 

19 mars 2011

un 19/03

 

..1946, la Guyane, la Guadeloupe, la Martinique et la Réunion deviennent D.O.M, c'est-à dire départements d'outre-mers francais.

 


..Premier jour des Quinquatries (Quinquatria/Quinquatrus), fêtes de l' antiquité romaine en l' honneur de la déesse Minerve.

 

 MinerveMinerve : déesse des Arts, des arbres, des sciences et des techniques de guerre. Très inspirée de la déesse grecque Athéna, Minerve tient son nom d'une autre déesse, étrusque: Menrva.

Elle aurait vu le jour en sortant du crane de Jupiter.

Protectrice de Rome, patronne des artisans, Minerve occupe une place de choix dans la mythologie Romaine puisque elle constitue avec Jupiter et Junon la triade capitoline. Le célèbre temple de Jupiter Capitolin y est consacré, ainsi que tous les capitoles du territoire romain.

 


 

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14 mars 2011

un 14/03..plein de mathématiques

 

 ..1871, naissait le physicien allemand, apatride, suisse et enfin helvético-américain Albert Einstein. Véritable révolution depuis Isaac Newton, Einstein nous offre de nouveaux calculs, de nouveaux instruments (appareils de mesures), de nouvelles théories physiques, cosmologiques, atomiques (ou nucléaires). Il publiera en 1905 une série de quatre articles dans la revue Annalen der physic, qui changeront la face du monde:

-Sur un point de vue heuristique concernant la production et la transformation de la lumière:

Einstein s'intéresse à la nature de la lumière.Cela est et restera chez lui, une véritable obsession depuis l'adolescence. Jusqu'ici considérée comme un ensemble d'ondes, ou bien de particules, la nature corpusculaire de la lumière s'inscrit désormais dans une dualité ondes-particules; c'est par l'étude photoélectrique qu' Einstein établira cette dualité. Tous les corps de l' Univers ( à l'échelle de l'observation microscopique) présentent simultanément cette double propriété: ondes & particules..La querelle entre partisans de Huygens (lumière= ondes) et Newton (lumière= flot de particules) prend fin. Un des premiers fondements de la mécanique quantique apparaît.


-Sur le mouvement de particules en suspension dans un fluide au repos impliqué par la théorie cinétique moléculaire de la chaleur:

En se basant sur le mouvement Brownien, Einstein déduit le mouvement moléculaire quantitatif. Ce mouvement est repérable et mesurable.Les molécules et les atomes existent, possèdent de l'énergie, quantifiable par son mouvement (énergie cinétique).

-Sur l'électrodynamique des corps en mouvement:

L'ether n'existe pas, l'epace et le temps ne sont pas absolus mais -relatifs-.

-L'inertie d'un corps dépend-elle de son contenu en énergie ? :

Masse et énergie sont liées / " La matière est un réservoir d'énergie" / E=mc2.


Ces quatre articles présentent au monde la nouvelle théorie de la relativité (restreinte qui sera suivie d'une générale, sur la gravitation).


 

                                               einstein

 

"J'affirme que le sentiment religieux cosmique est le motif le plus puissant et le plus noble de la recherche scientifique". (Idées et opinions)

"Définissez-moi d'abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j'y crois".

"La science sans religion est boiteuse, la religion sans science est aveugle".



 

14/03, ou 03/14, ou 3,14 :  Journée pi.           pi

 


 

 

Nouvel An Sikh.


 

 

2 mars 2011

VARIATIONS KAFKAISANTES , A

                                K. A. f. K. A

 
 
 
                                                       __ Etes-vous seul à ce point seul?, lui demandai-je.
                                                       Kafka fit "oui" de la tète.
                                                       __ Comme Kaspar Hauser?
                                                      Kafka eut un rire et répondit  :
                                                   " Bien pire que cela. Je suis seul...
                                                   comme Franz Kafka. "
 
                                                
 
 
  A :  " Kafka m' angoisse" (aahhhh)
  A': "Il me fait rire" (haha..)
  A'' : "Moi les deux" (ahahahaha..)
  A''' : " Je ne sais pAs"(
 
 
..Tous ces "a" chez Kafka ! Amusons-nous à:      -une gematria de son nom
                                                                             -un dévoilement de la voix de l'artiste
                                                                             -un hasardeux pas. sage au bazar de Kafka
 
 
 
 
 
                                                         KAFKA, voire K.A.F.K.A ; -- symétrie fascinante, élégante. Répétition du A couplé d'un étrange K . Au milieu trône un F, frontière des frontières, stoppant "là" le A dessiné juste avant,  ouvrant "là" sur la A ; peut-être un autre (une autre Amérique ?--AmerikA !!) , peut-être pas..
 
Cinq lettres pleine de magie, présentes partout dans la pensée magique de Kafka, superbes phantasia..Si toute lettre est magique, le A se distingue violemment des Autres; donnons des exemples en bazar ( bazar-gematria, étrange association[!] );  1ère lettre de nombreux alphabets, mais la A s'apprend-il? (cf. A, A', A'', A''' plus haut), le cri d'un nouveau né est il assimilable à un A?, Amon, dieu-substance de l'univers et source de l'ammoniac, substance vie lorsqu'il tient l'univers, substance mort lorsqu'il envoute et empoisonne si parfaitement, secret à ne pas dévoiler pour les quelques sorciers des compagnies de tabac..A l'inverse, le A privatif. Mais on ne parle jamais d'un A comme ca (ou plutôt si ,Kafka le fait et nous aussi là), le A couplé au K de Kafka donc, mais aussi à la femme!; car pas plus qu'on ne jette au dehors un A, pas plus on n'est parfaitement libre d'en faire ce que l'on veut; le A semble autonome..Et c'est ainsi, que la lettre la plus couplée à notre ami est bien le L, c'est bien elle (quand ELLE apostrophe le A, cela donne logiquement L'A....). Abrégeons ce bazar qui à l'évidence va jusqu'à l'infini, en pensant à @, à l'objet a (se prononce objet petit a), à Apophis qui approche, à Adam, à Abel, Abraham, Allah, Aurore, Aube, sans oublier le A qui manque à Dieu ("Béréchit : au commencement"), cætera...
 
Deux A donc chez Kafka, tous deux suite et témoin d'un Avant (Le K, le cas, pardon Mr K ! ), que pour nous amuser nous nommerons Absurde et Angoisse..Ainsi fait, une double difficulté  apparait: qui de l'un précède l'autre, angoisse ou absurde? Qui est Avant, qui vient Après?
 
Autant qu'impossibles à démêler dans son nom même, ces deux perspectives semblent nécessairement attachées l'une à l'autre dans l'autre (l'artiste, son âme, les personnages, les contextes, ..). L'un/e n'apparait que si son autre apparait en même temps ; et à chaque fois que nous lisons Kafka, immédiatement ces A nous hAntent et nous hAppent , car toujours nous sommes plongés dans une situation A-normale, suggérant le comique (dans le brin de lucidité qui me reste que puis-je faire devant une situation Kafkaïenne, si ce n'est rire, m'en Amuser!) Le lecteur ne diffère pas du personnage, il est au cœur de cette Anormalité, plongé malgré lui dans les interstices du A, au plus profond des ténèbres. Lorsque rien n'est maitrisé, naturellement l'angoisse se présente. Les personnages de Kafka sont submergés de rien maitriser (le lever après la nuit, la compréhension A posteriori de cette incompréhensible , toujours dans l'exemple du Procès, est l'objet, le seul à atteindre. Non maitrise du temps, et de ses éléments, mais aussi de ses agents! ; ceux du lever au lit sont ici depuis quand, qu'ont-ils vu, entendu, que savent-ils?-pArAnoïaA !! etc... Devant une telle violence, une telle prise en cours des évènements, les méditations s'arrêtent d'elles-mêmes, les explications ont déjà eu lieu Ailleurs, en l'Absence du personnage. Le seul réflexe qui vient en pareil péril est Animal; le cri, le réflexe, le sursaut: du réveil à l'éveil. Si donc Mr K ne peut comprendre à posteriori ce qui se passe, ne pouvant agir, délibérer sur quoi que ce soit, il observe (et décrit toujours avec Maestria). Tout est là!! Ce temps pour observer, cette Absence inversée, ce repli ultime, Autoproclamé 'Action de survie', ou réflexe Absolu  est le cœur de Kafka, de son A, la vérité seule qui, puisqu'elle est Vérité ne souffrira d'aucune approximation. De fait, si ni l'a priori déjà passé ni l'a posteriori sans cesse fuyant ne le permettent: où est la vérité qui délivrera Kafka? Dans l'Au-delà ! A l'intérieur même de l'homme contemplatif, en position d'observer, pouvant ainsi mêler à l'action qu'il observe l'action de ses propres pensées. De victime plantée là il devient un nomade étranger, son temps n'est plus le même. Il est loin et il rit..il rit tellement qu'il décide de faire des va et vient entre ces deux mondes..Et lorsqu'il se ré-Approche du monde qu'il avait quitté magiquement, plein de rire et de vie, il observe la terrible et angoissante raison des hommes..Tout y est drôle parce qu'angoissant, et inversement dans une simultanéité fascinante. Il n'est plus balloté mais en ballade, libre comme l' Air sur le fil de cette frontière, symétrique en son nom, dépliant les ambigüités, ne gardant que l'essentiel: la pensée magique, l'inquiétude métaphysique (ici c'est le "a" qui est la frontière). Grace à elle, il rit de la mort, et meurt de rire.. 
 
 
 
2 mars 2011

VARIATIONS KAFKAISANTES, A3BIS

 
 
 
on : ne mérite pas de majuscule.s
    : ne méritent pas de majuscule.s
   
 
f : frontière, forme (forme du pli), figura (ou icona) ; à l'intérieur du pli sans pourtant être en son centre, au cœur même de la lettre et de l'Etre;
 
 
 
il : voilà ce qui arrive, lorsqu'on supprime le fil. il (ne mérite pas de majuscule non plus), est le sombre désastre d'une rencontre avortée, celle des Anges et des humanités..Au lieu de refondre le lien qui unit  f à il (son fils..), nous bannissons le f et sanctifions le il ; nous ne cousons rien et nous causons de tout. Loin de nos lettres, loin de tout être possible et imaginable, f -A- il society où tout le monde est roi, sauf les Mages..Mais Attention ; il était une fois... 
 
 
Comment A et elle ont-ils fait connaissance? : Lorsque A est devenue à elle et elle est devenue à lui (L'A ou LA...), c'est à dire à A, la connaissance naissait; c'est une Co-naissance !! Guidés par Amour, c'est par amour toujours que nait la connaissance  ,Pas l' inverse !, jamais..
 

10 mai 2012

" Bonjour " : juste une mise au point..

 
 

                                               SALUTATIONS  : Toujours " empressées "
 
                             [ Gustave Flaubert: Le dictionnaire des idées recues ]

 
 
Que reste-t-il à ce jour de ces passionnantes années d'études philosophiques? Sans le dire avec prétention certainement beaucoup de choses. Pas tant d'ailleurs de connaissances que le goût et l'art de les faire cohabiter, d'apparaître, si différentes soient-elles. Quelle joie d'affronter une énigme en convoquant tout ce qui peut l'être et, par un processus incessant de métamorphoses et de goût du rangement ( du clair et distinct ), d'user et d' abuser d'idées, d'exemples théoriques ou pratiques, de concepts et de mots (de chiffres aussi) au sein d'un même discours pour le seul grand plaisir de chercher, (s') interroger. De cette manière, l'arrogante énigme tombe de son trépied et se voit assaillie: non par des réponses, mais par des questions, coutures et crochets complexes qui tentent parfois le tout pour le tout. La sagesse est peut-être à ce prix: s'emparer du trépied, sans attendre qu'on nous l'offre en grande pompe et de façon solennelle. Mais gare !.. " Le marche pied ni le trone n'est le corps de celui qui s'y place " . N'ayant pas peur des mots, quitte à en inventer, réconciliant des idées divorcées ou détournant des concepts de leurs prés carrés, l'art de cet art (ou le goût du travail) parait fondamental; par sa pratique incessante et sérieuse les énigmes n'ont qu'à bien se tenir. Chaque fois qu'un tel travail sanctionnera au final telle ou telle piste d'interrogation, l'énigme reculera; et la peur, le fatalisme avec. Cet art est pour tout le monde: chaque imagination y a sa place. Nul ne peut donc être considéré comme modèle absolu en la matière. Néanmoins, comme dans tout voyage, le nombre est demandé. La collaboration est de mise. Avoir un guide pour déjouer la doxa ou pénétrer des lieux métaphysiques est vivement recommandé. La cohabitation des imaginations permettra toujours de nous sauver les uns les autres, tout en poursuivant notre quête incessante: non pas celle de répondre, mais celle d'essayer de comprendre et d'avancer. La philosophie n'est cependant pas la panacée. Si parfois on peut emprunter le chemin de voir pour croire, celui du croire pour voir réserve à son tour d'immenses joies [ à condition(s) toutefois que l'objet de croyance ne se limite pas à une froide raison, triste et desséchée, qui trouverait toujours place dans la marche progressive des idées mais demeurerait parfaitement incapable d'approcher et défricher les chemins de l'amour, les voies du coeur]. Toujours est-il que la philosophie est légitime, dans le sens d' honnête, pour qui veut s'extraire un temps soit peu de la charge croulante de l'information, de la réponse et de l'Explication. 
De très nombreux penseurs, chercheurs et savants de tous les âges peuvent être à juste titre considérés comme guides. Mais parfois si lointains et complexes qu'il faut des guides pour comprendre ces guides. Ces derniers ont peut-être plus d'importance encore que leurs prédécesseurs; ils présentent au moins l'avantage d'être là en chair et en os. De plus, vivant dans le même monde, ils sont susceptibles de nous ouvrir les yeux sur ce qu'il est souvent le plus difficile de déchiffrer: ce qui est là, qui existe et n'existait pas avant etc..En combinant cette appartenance partagée au monde du moment à la connaissance approfondie du monde passé (généralement fruit d'un immense travail) ces guides, nos maîtres, paraissent réunir les qualités pour que nous ne tombions pas dans l'évocation permanente des anciens ou, à l'inverse, dans une interrogation exclusive de la proximité et de l'immédiat. Notre imagination est là pour les y aider. Mais la science philosophique présente un autre danger, et non des moindres. Si très rapidement elle témoigne avec autorité de sa nécessité, autrement dit de son utilité fondamentale, elle n'évite que très rarement l'éceuil de l'arrogance. Autre avantage de ces guides: leur travail obstiné, qui n'a nécessairement pas été sans sacrifices, leur a offert une patience et une humilité qui semblent toutes désignées pour tempérer l'ardeur mal régulée, l'affranchissement auto-proclamé des jeunes âmes qui pour une large part s'enfoncent et se perdent soit dans l'ancien (les figures de tel ou tel philosophe, telle ou telle phrase ici ou là) soit dans le neuf (quitte à chevaucher leurs maigres connaissances pour aller se mesurer à tel ou tel évènement ou signe particulier de notre quotidien); rien de tel en effet pour y apparaître comme penseur émérite, libre et éloigné de toute illusion; mêlant à une extraordinaire adaptation (signe ici d'une intelligence supèrieure) une extrême lucidité ou clairvoyance, citer une figure ancienne pleine d'autorité ou sanctionner des sujets contemporains souvent sans importance reviennent en fin de compte à s'exclure soi-même du champ philosophique. Seuls en effet l'orgueil et l'impatience (mais aussi parfois la mauvaise foi et l'absence d'honneteté) peuvent nous inciter à ce point d'emprunter des raccourcis intellectuels au mieux inopérants, au pire dangereux. En somme, si nous voyons avec tant de clairvoyance la brindille dans l'oeil du voisin sans jamais voir ni sentir la poutre qui est dans le nôtre, c'est que sûrement cet orgueil et cette impatience, et c'est terrible, nichent au plus profond de nos habitudes. L'air du temps y est sûrement pour beaucoup: univers (physique et intellectuel) à la fois aseptisé et dominé, soumis même, tyrannie du neuf, de l'instant et du sans conséquences, à quoi s'ajoute une course boulimique au divertissement qui semble parfois annoncer sa propre fin (tant elle est compromettante): tout est réuni pour que sitôt qu'on croit maîtriser les grands noms, les courants de pensées, on choisisse trop rapidement de s'enfermer dans le passé sans jamais interroger l'actuel, ou inversement s'emprisonner dans l'actuel sans jamais convoquer le passé. Bref, partout on peut s'enfermer et se perdre.

 -Que reste-t-il donc de ces passionnantes années d'études philosophiques?
 
De toute évidence le souci de ne pas kidnapper une phrase ici, une référence là pour donner en holocauste à l' habitus. L' apprentissage du délai, du suspens et du vide; celui de ne pas remplir toutes les cases à tous les coups (et surtout pas au premier!). Autrement dit la patience et la persévérance. La mise en danger: manquer ou ne pas reconnaître un évènement comme tel, céder à la doxa etc. Tout ceci est un acquis donc. Parvenir à le perfectionner sans qu'il prenne la poussière est autre chose. Voilà donc le nouveau chemin qu'auront dévoilé pour nous les maîtres: le sentier de la guerre apparaît peu à peu sous nos yeux; entre occulus mentis et occulus simplex.

Mais étrangement, il reste aussi de manière très vivace autre chose: une allocution a priori toute banale d'une de ces guides. Au premier jour de rentrée, ses premiers mots aux deuxième année d'alors ne portèrent pas sur le programme ou sur le cours en lui-même mais sur la résolution qui fut la sienne de sortir une bonne fois pour toutes de ces (non)-formules de politesse qui fleurissent (pullulent semble un terme plus adéquat) dans nos paroles, parlées ou écrites (et pensées c'est là tout le problème!). Aussi nous fit-elle part de sa ferme résolution de ne plus céder aux sempiternels " bonjour ", arguant pour cela, et à juste titre, que notre langue ne manquait pas de formules de salutation et de politesse, si tant est qu'il nous faille aller chercher exemple de comment on salue. Son ton résolu, déterminé, un peu agacé et à la fois amusé  fut à la fois percutant et léger; il ouvrait une brèche..Il trahissait en tout cas une profonde réflexion personnelle, une prise de décision: il y aurait un avant et un après. De l'héritage de ces belles années figure donc en belle place cette déclaration.
Déjà fortement marquant à l'instant où il fut prononcé, ce discours s'invita très profondément dans les pensées ordinaires et extraordinaires de votre serviteur. Il fut presque immédiatement prétexte à faire un audit de ces formules, de ces, enfin de " ce " bonjour.
 
 
 
                            ?................................ B o n j o u r................................?
 
 
 

Les courriers physiques prêtent naturellement moins à de tels usages. Ayant déjà accepté de communiquer en prenant le temps (temps de rédaction, d' émission, de réception...de réponse !) et concédant également aux exigences esthétiques que réclame un tel projet, le courrier au sens classique peut faire mentir cette observation. Les courriers électroniques en revanche semblent être leur sanctuaire. Sans lire tous les courriers envoyés ou reçus, sans même les lire intégralement, les mauvaises nouvelles étaient là. Bonjour par ci, Bonjour par là. Quelles que soient les destinataires de ces courriers ou les circonstances de leurs rédactions, le bonjour invariable, toujours le même, revenait. La belle affaire dira-t-on: pas de passe droit: l'universel, le même salut pour tout le monde...Et puis quoi encore !
En proclamant le même Bonjour (et encore !..on l'habille généralement d'une Majuscule) à tous et toutes en tous lieux et en toutes occasions, il semble soit qu'on n'ait à offrir à leurs destinataires qu'une seule et même chose, soit plutot qu'on n'ait rien à leur offrir du tout. Ce mot/expression qui doit en dire long, qui précède en tout cas tout ce qui sera dit après devient sous notre indolence et notre non-vigilance une expression passe-partout; elle ne souhaite et donc ne fait don de rien, elle couvre uniquement ses arrières. S'ajoute à cela un accent de familiarité pas toujours de mise. Posé là comme une tache, une paresse, comme une sorte de refus de plus ou de mieux, Bonjour qui n'est précédé de  et ne précède rien a de quoi effrayer. Il témoigne également d'un empressement: en disant bonjour d'entrée on semble s'acquitter du plus pénible.." ça c'est fait ".. Mais à quoi bon alors souhaiter? Mieux, souhaiter une journée bonne ?
 
  On entend souvent des parents apporter un complément d'éducation à leurs progénitures et gronder: " Merci qui ? " . On pourrait poser ici la même question: " Bonjour qui ? ".. Tout ceci doit paraître bien futile, appartenant de toute éternité à l'anecdotique et, partant, non-source absolue d'interrogation philosophique. Si penser isolément de tout le reste un auteur, un concept etc est regrettable, quel intérêt l'étude " isolée " d'un mot, visiblement le plus banal de notre escarcelle, peut-elle offrir ? C'est que, précisément, bonjour n'est ni un mot ni un acte isolé. Il adresse, il s'adresse. Il projette et offre, il s'abandonne et partage; dans le bonjour l'altérité. Il est le préambule à un discours qui n'aura peut-être rien à voir avec lui; message dans le message, sorte d 'introito, il est une, il est la première note. Bref, il exclut toute mise à l'index: il est éthique. Par conséquent, tout manquement à son bon usage ou en tout cas à une remise en question permanente, sincère et sérieuse de ses conditions d'existence et de représentation participe d' un grave manquement éthique.
Desséché de cette dimension, qui dit qu'il ne sera pas bientôt une touche parmi tant d'autres de nos pavés numériques; entre Ctrl et Alt par exemple, entre Suppr et Entrée, ou bien alors à proximité immédiate d' Echap? Plus nous allons chercher notre humanité loin, très loin dans le passé ou dans notre environnement  immédiat plus nous perdons de vue qu' à l' intérieur même de notre réalité concrète et finie (le là maintenant ici et tout de suite) réside un trésor éternel qui n' attends que nous; par lui nous pouvons sortir d'une espèce d'autisme, d'une drôle de tristesse qui nous déshumanise (si c'est possible) puisque nous nous la refilons sans cesse comme on se débarasse d'une chose encombrante dont l'autre n'aura, à son tour,qu'à se débarrasser si le coeur lui en dit (peu importe ce n'est plus notre affaire; ça ne l'a même jamais été) . On n'y pense pas. Et pour quoi faire? Passerais-je pour penseur émérite en bricolant du faux sur de l' à peu près ( je conclurai de tel petit bout de théorie ou de sentence tout un système; et à ce système je ne demanderai qu'une seule chose: ne s'écrouler qu'après moi..) ou bien alors en améliorant de manière presque invisible ces bonjour qui ne sont pas qu 'à moi ? La gloire ou la vérité ? De plus, offrir comme on le fait ce baiser de la mort, ces bonjour mortifères témoigne d'une réalité plus sombre encore; nous sommes incapables lorsque une réalité ne nous convient plus d'en changer. Ni pensées ni révolutions. Ainsi, par une dramatique indolence, nous restons dans les clous d'une pensée étrangère; nous sommes perdus, désunis. Nous répétons sans cesse notre nouveau credo: " Bonjour.." . Jusqu'à ce que soudain on accepte d'y penser, devant pour cela remettre à plus tard notre grand projet de gloire intellectuelle, ou que quelqu'un nous donne du cher(e),  bien cher(e), nous souhaite un bon jour comme on souhaite le meilleur, simplement et vraiment, de manière esthétique et éthique. En délivrant de façon systématique des bonjour anonymes, il semble bien que nous n'adressions rien à personne. Pourquoi alors prononcer ces deux syllabes qui doivent tout dire mais ne disent rien? Nous l'avons dit, par paresse intellectuelle et du coeur; par une indépendance arrogante auto-proclamée de l'éthique. N'ayant rien à tirer d'un tel projet, à quoi bon effet le perfectionner et faire qu'inévitablement l'autre, celui ou celle pour qui on soigne les formes du bonjour avant meme d'envisager le reste, passe réellement une vraie, une belle et Bonne Journée ?
 
 
                                                                                                                     ..p...
 
 
2 mars 2011

VARIATIONS KAFKAISANTES , A3 OU L'A3D

 
 
.. désolé pour le style quatrième de couverture; voilà ce qui arrive lorsqu'on fait des mots pour faire parler les autres; on invente le il ; "on" est vraiment un con, mais "il" s'en satisfait (d'ailleurs, qui a inventé le on, ne serait-ce pas lui, il ?)..Dés lors, pourquoi arrêter, pourquoi se l'interdire? Etrange temps de la subjectivité que celui où  le sujet n'osant faire un usage Adéquat de son être, de son A par exemple, se cache derrière eux, les on et les il, rode et tournoie autour de son propre être, de ses propres lettres.  L'arbre généAlogique se précise un peu plus: K.A.F.K.A  a deux filles, a (diminutif d'absurde) et a (diminutif d'angoisse), qui ont à leur tour deux fils, on et il... et ainsi de suite et patatras..On invente ce qu'il dit, et il répète ce qu'on dit..D'Accord avec Descartes, cet infini là est Indéfini, manque de clarté. C'est le monde dans lequel on (tiens le revoilà..) vit. / Imaginons un A très grand, traversé par une ligne droite (milieu transversal)..et appelons cette ligne droite f.. Le A a bien des pieds, mais il ne lui sont utiles qu'un certain temps, car pour devenir le A sur f, le A sur la frontière , le fil, le pli du mot K.A.f.K.A, il faut qu'il garde ses vérités géométriques. Nous sommes certains d'assister à du mouvement; A va tomber, nous le savons, et il le sait..A angoisse, il va mourir. Mais A ne meurt pas, puisqu'il passe la frontière! Alors revenons au fil suspendu, sur lequel arpente A ; et cherchons une géométrie qui puisse expliquer cette puissance et cette éternité du A. Cette ligne "extérieure" (A est venu dessus, de son plein gré), ne suffit plus. Essayons d'en convoquer une autre: si pas de ligne extérieure, alors quelque ligne qu'on utilise on sera toujours en contact avec le A. Dans le cas de simples sécantes, au delà du support de la vue (grandeur du dessin , du papier etc.), toute droite qui coupera A sera amenée à recroiser les extrémités qu'elle a elle même créée, A n'est pas fini, en tout cas pas en puissance car mort ou vif il a un futur, un A-venir;  il le sait et nous le savons..Aie, pas de solutions!! Restent deux droites à imaginer: après l'extérieure vers laquelle fait mouvement le A, après celle qui vient le percuter et le transpercer sans pouvoir rien briser mais unir A-jamais, restent celle qui participerait de A comme A participerait d'elle, c'est à dire qui inclue un des trois segments qui forment la figure du A ; ici non plus, quel que soit son mouvement, A ne peut pas tomber. Possible objection: dans ce scenario, tout mouvement semble à terme voué à l'immobilité  (mais autre vaste débat je crois)..En tout cas, adossé et partie prenante de f, A restera..Mais il reste un espAce au cœur même de A: trois segments à nouveau, formés en triangle. La quatrième droite pourrait bien passer par-là, assurant elle aussi longue vie au A , ainsi que droiture, car c'est la seule perspective dans laquelle A peut se tenir plus ou moins droit..Si la droite "meurt", A ne mourra qu'après. De plus, au gré des circonstances, sa Liberté de mouvement est totale; impossible de séparer  A de la ligne puisqu'elle est en lui, et pourtant il pourra se déterminer librement, sans le moindre contact..avec et sans, avec aisance même. Comment A et elle ont-ils fait connaissance...
 
 
.. je voulais partir sur autre chose pour finir ailleurs.. Anyway.
 

9 mars 2011

JOUR DES CENDRES. JOUR DE BANQUET ? BANQUET DES CENDRES

                                                                    


 
                     A celui qui n'est pas content

 
  Si j' ai meurtri ta chair d' un coup de dents cynique,
Toi seul est à blâmer, misérable roquet. Ton bâton et
ton fer sur moi n'ont point d'effet :
Mieux vaudrait t'abstenir de me faire la nique.
  C'est parce que tu m'as traité indignement
Que je tanne ton cuir et te fais ton affaire
Dussé-je choir ensuite et mordre la poussière,
Ta honte désormais s'inscrit dans le diamant.
  Ne va pas dévêtu voler le miel d'avette
Ne mords pas dans mon pain, s'il te casse les dents
Ne sème pas, pieds nus, d'épines dans mon champ.
  Prends garde aux araignées, toi qui n'es qu'un
insecte ;
Ne va pas, souriceau, dans la mare aux reinettes
Et n'étant qu'un poulet, du renard méfie-toi.
  A l'évangile ajoute foi,
Car il le dit et le répète :
Qui sème l'erreur dans nos champs
Récoltera le châtiment.
 
 
 
                                                                                                              Giordano Bruno
 


3 mars 2011

SILENCE !......! ACTION


Je dédis ces insultes à tous les enfoirés:

Ces petits bouts de rien qui ne supportent pas
que l'on puisse avoir faim,
que l'on puisse avoir froid..
 
Au siècle dernier, il y a 26 ans,
Un seul homme s'est levé.
Et il s'est levé tôt,
à une heure où le  froid envahit et soumet,
De nombreuses âmes seules,
D'innombrables affamés.
Il n'a fait que dire "Je",
Puis a fait ce qu'il a dit:

"Moi Je file un rencart à ceux qui non plus rien,
sans idéologie, discours ou baratin".
 
Aussitôt dit, aussitôt fait donc;
Voilà notre Homme parmi eux,
Les vilains et les gueux,
Repoussants nouveaux pauvres,
Différents à jamais.
Des cagettes à l'épaule,
Du concret à offrir,
Redistribuer, répartir..
 
A lui seul il a pu terrasser
L' inaction des puissants.
Compassion,
Indulgence,
La générosité n'est pas un sentiment !
Pas non plus une promesse vertueuse:
Elle est mère du Vrai,
Elle est sœur de l'Action..
 
Et puis les Enfoirés.
Cette meute enragée.
Que de "goût", de sagesse et d'amour
Chez ces hommes et ces femmes,
Si désintéressés..
Nous les connaissons tous,
Acteurs, chanteurs, artistes en tous genres.
Acceptez donc ces noms 
Qui étaient faits pour vous:
 
Eliphaz, Bildad, Cophar...
 
À en croire vos chansons,
vous seriez aujourd'hui une armée.
D'ailleurs vous recrutez:
"Rejoins notre aar-mée".
Une armée n'est-elle pas faite pour la guerre?
Comptez-vous la gagner?
Où sont les champs de bataille?
Nous n'avons eu droit jusqu'ici
Qu'à de de biens tristes chants,
Qui plus est en pagailles.
Vos talents sont vos armes,
Mais sont surtout vos crimes!
De formidables conseils de guerre
Se tiennent chaque année;
On part même en tournée,
On y vend des CD.
..Mais quand il faut s'aider!!!
 
Que trouve-t-on de bon en carré VIP?
Entre coke et champagne,
Peut-on se rassasier?
Quelle salle offre le meilleur catering?
Où doit-on vite retourner?
Où ne faut-il plus aller?
 
Aux restaurants du Cœur?
Vous n'y avez jamais mis les pieds!!
 
-L'objectif était pourtant simple:

"On vous promettra pas
Les toujours du grand soir,
Mais juste pour l'hiver,
 
A MANGER ET A BOIRE
 
...
 
 
                                                                                                             ..P...
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
31 mars 2011

épisode du 31 /03 / 2011

 

05/20: Au cours d'une discussion fraternelle, Victoria déclare à Nicolas avoir peur pour JT (et non TJ comme le professeur Corbel aime tant l'appeler); "c'est ce que doivent ressentir les femmes de  policiers  quand ils sont sur le terrain".. Ici, un bref retour à la réalité s'impose. Quel drame de ne pouvoir rallier Genoa dans l'heure, retrouver Victoria et lui dire:  
-que JT n'est probablement pas, comme le pense sa future épouse, sur le chantier de Clairsprings en train de combattre le crime et le vice. Non, il est plus certainement au Néon Ecarlate, en train de faire régner l'ordre et la justice..ou au Loft !!..
On le dit très intelligent, mais nul n'a jamais pu le prouver.
Une rumeur jadis le disait déprimé; selon elle, Gina l'aurait un jour empêché  d'avaler un ballon de basket sur le playground de l'Athletic Club..
 
12/00: Victor éprouve un grand bonheur en tenant dans ses bras sa petite fille Summer..
           -Fini Zapato?-
 
16/06: JT est bien à Clairsprings..Depuis sa chambre d'hôtel, il discute au téléphone avec Victoria qui lui annonce sa venue prochaine. JT plaisante, fais des jokes sur canapé et déclare extrêmement sincèrement à propos du futur bébé: " J'espère que le petit aura mon sens de l'humour ".
 -Froid dans le dos.
 -Chair de poule.
 -Profond malaise.
 
26/25: Pub(i)licite
 
32/03: Catherine Chancellor, ou du chêne..
 
44/30: Apothéose; Victor Newman(Christian de son véritable undername) a pris sa décision: l'Entreprise sera dirigée par un triumvirat composé de Neil Winters, Co-PDG, pour les cosmétiques, Nicolas (Christian) Newman, Co-PDG à la tête de Capital Risk, et la troisième Co-PDG, Victoria (Christian!!) Newman s'occupera de l'immobilier.

16 mars 2011

un 16/03..

 

 ..Premier jour des festivités issues de l' Antiquité: la fete des  Bacchanales. Tenues en l'honneur de la divinité Dyonisos (grecs)-Bacchus (romains), dieu du vin, de l'ivresse et des plaisirs.

 

 

                                              bacchanales

 

                                                  Bacchus / Le Caravage

                                                         1596-1597


 


  .. Mystères  


                                                                                                

..37, mort de l'Empereur Tibère


 

3 mars 2011

NICHT NIETZSCHE

nietzscheNIETZSCHE /.. Nicht Nietzsche! Nicht nicht nicht...Nicht Nietzsche, got it?!!

 

-Nietzsche? -NICHT!

-Nicht Nietzsche? -Ya, nicht.

-Warum? Warum nicht? Warum nicht Nietzsche?

 

..NICHT NIETZSCHE !!!!, and the f.....g story!

 

(Nicht Nihilismus?- NICHT !!!!!!!!!)

 

 

 

                                             ..P...

 

 

 

 

 

 

 

 

14 mars 2011

COINCIDENTIA OPPOSITORUM

 

                             coin

                                        ~                        ~

                                     <..>                    <..>

                                         

                                                          ...        

 

                                                               O

 

 

                            



                                                        

12 mars 2011

un 12/03

fenelon1..bref cum alias dans lequel le pape Innocent  XII condamne 23 propositions de

l' Explication des Maximes des Saints sur la vie intèrieure de Fenelon.

 

Fenelon

 

" C'est la poésie qui adoucit les hommes farouches "

                                                            Lettre à l' acadadémie

 

" Ce n'est pas difficile, c'est le beau que je cherche".

                                                            Lettre

       Fenelon

    


 

2 mars 2011

Corps et Esprit

snapshot20051126133651__1


Tant de belles pensées, de si beaux souvenirs.Une méditation profonde impossible à stopper; La lumière embrasse tout. Elle t'ouvre les yeux qui défient l'horizon.L'air est bon, meme ici il se montre.Mais que cherche ce bras? A voler ton esprit?

12 mars 2011

RESIDENCE A L'ANNEE

 

                            igloo_lumin

 

Bienvenus chez moi..Vous avez trouvé facilement? Ces trois derniers jours de marche ont du vous fatiguer. Vous devez avoir faim aussi. Ne vous inquiétez pas, je viens d'allumer le barbuc. Quel temps splendide n' est-ce pas! Mais venez, entrez, et reposons-nous à l' ombre.

 

17 mars 2011

JUIFS

 


 

 

 

                       moise

 

 


 

  Connaissez-vous les six juifs qui ont changé l' Histoire du monde?


-MOISE: " Tout est Loi ".

-JESUS: " Tout est Amour ".

-SPINOZA: " Tout est Nature ".

-MARX: " Tout est Argent ".

-FREUD: " Tout est Sexe ".

-EINSTEIN: " Tout est Relatif ".

 


Plus vieille blague juive: "Dieu soit loué!"


 

 

8 mars 2011

.. . .

 


 

    Carnaval                      MARDI GRAS

 


 

7 juillet 2013

HEGEL IN ABSTRACTO ( 2)

 

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Spectres Hégéliens d'un océan sans rivages

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7 juillet 2013

HEGEL IN ABSTRACTO

 

Hegel au microscope

Impromptu VS Capitalisme

3

A

 

 

 

14 mars 2011

Chuuuut...

 

 

                       AA

 

 

 

 

10 mars 2011

.. AUTANT DE TEMPS...

 

 

 

                    Horlogeplanck

 

 

 

 

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